Lorsque vous avez perdu un parent, un ami, un collègue ou une connaissance quelconque, comment avoir accès à son avis de décès pour
Comment as-tu commencé ?
J’ai grandi dans une famille où il y avait toujours de la musique mais où personne n’en faisait. Puis on m’a offert une guitare pour mes 14 ans… Mais je n’ai appris à en faire qu’à mes 17 ans, tout comme le piano et la basse. Aujourd’hui, je travaille surtout sur ordinateur, avec toutes sortes de bruits… Pour une musique qui défie les cloisonnements !
Quel est ton style ?
Je dirais de la pop sombre avec une dimension triste. Une sorte de Sad Core ou Dark Wave pour ainsi dire. Cette différence n’est pas un frein, car les radios me disent que justement c’est original. Ce qui comptera surtout ce sera les retours du public quand je monterais sur scène et les avis que j’ai déjà sur ma page internet.
Concernant « The house of the rising sun« , de quoi s’agit-il ?
C’est une reprise d’une chanson des années 30, mais surtout elle fait partie de la série TV American Horror Story (Coven, rdlr). Les paroles parlent d’une jeune fille qui a suivi un escroc qui l’abbandonna, ne lui laissant d’autre choix que de travailler « In the house of the rising sun », expression auparavant utilisée pour parler des maisons closes.. L’ambiance de la série a d’ailleurs inspiré le clip, que j’ai conçu de A à Z, de l’esthétique aux costumes, du choix des décors à l’étalonnage. S’en est presque un court métrage car il raconte une histoire. A l’avenir j’aimerais d’ailleurs que chacune de mes vidéos raconte à elle seule une histoire, comme l’a fait la première.
Quelles sont tes influences ?
Je dirais Lana Del Rey, Marina and the diamonds ou encore Melanie Martinez. Ce sont toutes des auteures-compositrices au genre assez unique, tout en restant dans une dynamique plutôt new wave, pop, indie et parfois éléctro.
Quel est ton parcours musical ?
Avant de me lancer en solo, j’ai fait partie de plusieurs groupes de punk rock, d’industrial mais j’en suis partie parce que mon sens de la précision et du détail n’était pas celui de mes partenaires. A présent, à 20 ans, je fais tout toute seule : réalisation des clips, musique, parole, mixage….
Peux-tu nous parler de ton album de Noël ?
Il s’agit de 3 chansons traditionnelles en Anglais, et le projet était d’en donner une reconstitution personnelle plus qu’une véritable interprétation, c’est-à-dire de réinventer les morceaux aux gré de mes envies plutôt que de rester sur les classiques instruments et arrangements des chants de Noël. Je voulais y mettre quelque chose de plus personnel au niveau du style.
Où peut-on t’entendre ?
Surtout sur internet, car pour l’instant j’ai une peur panique de la scène, ce qui est paradoxal, car je cherche des retours du public, mais pour l’instant, internet est pratique et confortable.
Quels seront les prochains projets ?
Tout d’abord finir 3 nouveaux morceaux : deux reprises et une chanson qui se base sur l’histoire de mon compagnon dont la mère est morte d’un cancer. Après cet événement tragique, j’ai découvert un poème qu’il lui a dédié où il lui rendait hommage et faisait part de ses regrets. J’ai choisi de le mettre en musique, avec quelques petites modifications de texte pour la musicalité. Par la suite, je verrai bien. La musique est pour moi la bande son sur la vie qui défile devant mes yeux.
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Quand et comment as-tu débuté?
J’ai commencé à l’âge de 17 ans avec mon cousin, passionné de photographie tout comme moi. Il est depuis devenu